Je voudrais rappeler aux lecteurs pressés que le procédé que j’utilise en hommage aux poètes disparus est la translation, procédé qui devrait être savant et inspiré, mixte de copiage, plagiat, interprétation, modernisation, innovation, imagination, éventuellement traduction. Les résultats sont inégaux, ils sont surtout différents, par nécessité, non pas tant parce que les époques sont diverses, mais parce que les inspirations le sont.
Mon blog, grâce à ces translations, est devenu poétique. J’opère ainsi un retour à mes vingt ans quand je suis tombé amoureux de Régine.
Je serais ravi qu’un lecteur, ayant apprécié une de mes translations, revienne au poète qui m’a inspiré.
N.B. : Sur les « translations », voir l’article du 9/11/2013.