Il y a bien des façons d’être sceptique. La pire est celle qui nie le scepticisme, autorisant tous les refoulements, autorisant tous les défoulements.
Doute et scepticisme ont les mêmes fantômes, ceux du doute disparaissent. Ils ont les mêmes fondements, ceux-ci subsistent.
Le doute scientifique a des fondations communes avec le doute dépressif.
Les vrais sceptiques ne mettent pas en doute leur scepticisme. Leur scepticisme en prend un coup. Il en devient faux.
Tu n’es misanthrope que si ton histoire le permet, ton histoire solitaire.
Pas de doute sans misanthropie, certains misanthropes ne s’en doutent pas.
L’ontologie est fondée sur le doute. Si tu cherches l’Etre, c’est parce que tu ne crois pas le connaître.
Pas d’ontologie sans symboles. Il y a un discours de l’ontologie.
Même la vertu a ses contradictions. Même et surtout.
Fondée sur la responsabilité, elle doit s’ouvrir à l’imagination.
La vertu ne se décrète pas. Elle n’est pas du domaine de la loi.
L’humanité sait ce qu’elle doit savoir.
Ne prétendons à rien de nouveau sur l’essentiel.
Il est terrifiant le mal que l’humain fait à l’humain.
Qu’est l’humain ?
N.B. : Quiconque n’aime pas ce genre de réflexions peut ne consulter que l’une des autres catégories de mon blog : Ma vie, histoire, poésie, politique. Mon blog, c’est ma vie. Mais seulement sur cinq dimensions et encore !, avec des obligations de discrétion.
Chacune de ces catégories se subdivise, par exemple la poésie en poésie lyrique, satirique, philosophique…
Yes, you can !