Examen de conscience :
Ce que je dis sur les formes ne sert à rien, strictement à rien, sinon à me faire du bien.
Je doute, dons je suis, je doute, donc je ne suis pas.
Le doute mène à l’Etre.
La plus belle pensée de la terre ne peut rien contre un caillot de sang.
Le chef est bien là où on le met ( idée de type confucéen ! ? ).
Il est très important de ne rien faire ( pendant un temps ) pour retrouver le goût du faire.
Le capitalisme sert tous les aspects de l’humanité ( les pires comme les meilleurs ).
L’ironie est universelle comme le mouvement apparent du soleil.
On ne touche pas à la religion, seulement à ses excès.
Les formes dissolvent l’opacité de la matière ( en idée, seulement en idée ).
A échelle humaine, où la perfection est imparfaite, il faut en garder l’idée comme pour la beauté.
Nous sommes pris entre les mondes et il faut y rester pour être heureux ( formule étrangement épicurienne ).
La traversée des apparences renvoie aux apparences.
Les apparences renvoient aux formes sans que nous le sachions.
Les formes sont inutiles à la différence des idées platoniciennes.
Les formes sont vraies alors que les idées platoniciennes sont fausses.
Nous ne pouvons rien contre les formes alors que nous pouvons critiquer les idées.
Dans l’univers des formes, dans l’enchevêtrement des formes, le temps est une illusion, mais c’est une illusion absolument nécessaire à échelle humaine ( cette idée n’est pas indienne )
Une approximation des formes est donnée par les idéalités mathématiques ( par exemple les fractales ).
N.B. : Le dernier article sur les formes a été publié le 20/11/2013.
N.B.2 : Un petit article sur les fractales a été proposé le 2/11/2013 et un autre le 7/11/2013.