Max Elskamp fut passionnément lyrique vers 1900 :
Je suis le cheval noir de votre légende
Je ne suis pas un cheval en bois
Je ne suis pas de bois
Une centauresse a pour moi des appas
En elle j’aime autant la femme que la jument
Je suis un cheval sauvage
J’ai le coeur gros de nuages
Gros de cygnes de crapauds de rideaux aux fenêtres
Je ne suis pas un geai couvert de plumes
Ma famille n’a pas de portes
Elle est là où le galop l’emporte
La solitude est le sort furieux que j’assume