Jean Richepin fut très authentique au XIX° siècle :
Le maroufle, le gueux
Couvert de sombre
Côtoie l’ ombre
D’une nuit maudite
Sur un chemin poudreux
Ses souliers éculés et ouverts
Ne le portent plus guère
Dans ce chemin creux
Il ne passe pas une âme
Le gueux poussiéreux
Est poursuivi par la nuit
Encor jeune le gueux
Est déjà vieux
La bête maudite le guette