Il était difficile de ne pas saluer l’ami de Montaigne :
La chaleur altérée du soleil a jauni les prairies
Il se retire enfin
Ma jeune épousée et moi tout aussi juvénile
Sous la fraicheur d’une douce soirée
Nous nous égarons dans la forêt
Epaisse solitaire sauvage
Sous la lune insolente la verdure sombre
Couvre de l’amour le parfum de notre âge