Je me permets, tout en l’admirant, de prendre le contrepied de l’éminent poète :
A l’ombre du vieux chêne au coucher du soleil
Je regarde souvent la plaine
Ici le fleuve écumant s’enfonce dans l’obscurité du lointain
Là le lac dort sous l’étoile du soir qui brille dans l’azur
je joue l’indifférent
Mais quelque chose m’émeut infiniment
Serait-ce le bonheur ?