La nuit amassait dans son immense parc
Un grand troupeau d’étoiles vagabondes
Elle guidait ses chevaux noirs
Dans ses cavernes profondes
Le soleil rougissait à notre horizon
La rosée en mille perlettes transparentes
Enrichissait les prairies les jardins
Pas de dieu pour remplacer la nuit ?
Si, l’aurore, le jour, le soleil
Sans compter la nymphe riante
Surgie du fleuve et du ciel
N.B. : Le premier poème translaté à partir de Du Bellay a été publié le 29/11/2013