Henri de Régnier fut, aux alentours de 1900, un « symboliste » :
La pluie est douce au crépuscule
La pluie est douce sur les mains
La pluie sourit
Il fait beau sous la pluie
La sente boueuse est obscure
Les chaumières sont loin dans les cultures
Les falots éclairent les souches les pierres la route
Vacillent sur l’eau de la fontaine
Les pas sont lourds et monotones
Tu m’accueilles comme la pluie