Raoul Ponchon fut, autour de 1900, un poète journaleux :
J’adore l’absinthe
La boire, c’est humer l’âme des bois
En leur verte saison
C’est entr’ouvrir la porte des cieux
Son paradis est certes vain
Mais il me fait supporter la vie
Qu’importe qu’il m’apporte la mort