Marie Krysinska fut à la fin du XIX° siècle une poétesse chansonnière :
Le long des boulevards
Les fenêtres étoilent les maisons
Le soleil les épanouit comme des fleurs
Elles évoquent des mondes et d’autres
Rêves frileux Exquises paresses
Confidences muettes Voluptueuses songeries
Fenêtres vides comme des yeux d’aveugles
La dernière fenêtre au bord du toit
Avec son pot de géranium chétif
Parfois le ciel la teint tout en bleu