J’ai découvert Florian dans mon enfance et je lui suis resté attaché. De plus j’ai constaté qu’il était généralement ignoré des meilleures anthologies. Je voudrais quasiment réhabiliter le meilleur fabuliste français après La Fontaine bien sûr.
Je dois dire que depuis qu’au mois de novembre j’ai découvert définitivement les joies de la translation, de ce que j’appelle translation, je suis de plus en plus passionné. C’est devenu une spécialité.
J’ajoute donc aux intérêts que je trouve à la translation, au delà de la simple traduction, le plaisir de rajeunir de vieux textes du passé et d’en faciliter l’accès aux curieux d’aujourd’hui.
N.B. : On peut se rapporter à l’article « Translation » du 9/11/2013