Une épopée divine

Je dois cette « épopée » à Alexandre Soumet de la première moitié du XIX° siècle :

La lyre chante ce que l’âme rêve
C’est ainsi que j’ai vu
Un grand aigle planant
Sur un ciel nuageux
Affronter un volcan
Brisé dans sa force
Il tournoie
Un tourbillon l’emporte
Un autre le ramène
Aveuglé et béant
L’aigle royal flotte
Sur l’océan
L’ouragan engloutit
l’aigle et le soleil
En un unique tombeau
Une plume de l’aigle
Me permet de tracer
Ce mystique fait-divers