Hommage à Rémy de Gourmont
La très chère était nue Ses yeux clairs faisaient pâlir la lune La lune éphémère mère des rêves Bleuissait le front fleuri d’étoiles de la très chère La c...
La très chère était nue Ses yeux clairs faisaient pâlir la lune La lune éphémère mère des rêves Bleuissait le front fleuri d’étoiles de la très chère La c...
Pierre Quillard, vers 1900, m’a donné cette idée : L’Illustre Ville se meurt A l’ombre de ses murs Autrefois élevés L’herbe peuple les r...
Le cirque de la Lune avait besoin d’une sorcière. Ils ont trouvé Amaryllis. Elle est petite, maigrelette, voire très maigre. Elle est aigre, voire très ai...
Je crains de desservir le huguenot fervent, l’auteur des « Tragiques » : Eh ! Vous, là, conseillers des grandes compagnies Vous qui vous jouez de nos bien...
L’univers des formes a une unité secrète, la Forme, la forme des formes. Pour ma part j’ignore complétement en quoi peut consister cette mystérieuse...
Barjot dit le Barj’ est petit sous lunettes. Il est enveloppé d’un grand manteau noir, grand pour sa taille. Son chapeau est mou. C’est tout c...
A croire que la poésie du XVIII° siècle n’aimait pas les « philosophes » : Malheur, malheur à toi Ville lâche ville perfide Ville de sang avide De trésors...
Notre défunt Gustave Kahn m’aurait confié le soin de ce poème : Gouttes perpétuelles Fatigue universelle Des nues à la rue Tout s’embue Lourdes mais...
Moi, Hétéro, je tonne et je tonnerai Je pense ce que je pense et je suis qui je suis Comme le disait Shakespeare Les laches meurent tous les jours Un brave comm...
Charles van Lerberghe m’a inspiré depuis son XIX° siècle belge : Un peu de rêve Un peu d’amour Autour du front des lys Une vie fragile et brève C&rs...