Hommage à Arvers

Il a été fait allusion à Félix Arvers le 18/11/2013 .
On ne connait généralement du sonnet d’Arvers, « Mes heures perdues », imité de l’italien, qu’un seul vers, le premier : « Mon âme a son secret, ma vie a son mystère ».
Très tôt le jeune Dhoquois, translateur avant l’heure, avait transcrit : « Mon coeur a son secret, mon âme a son mystère »

Cet amour éternel en un instant conçu
Je l’ai tu
Celle qui l’a aidé à naître
N’en a rien su
Je restais à ses côtés solitaire
N’osant rien demander et ne recevant rien
Elle va son chemin douce, tendre et distraite
Entourée d’un murmure d’amour
Dont le mien qu’elle n’entend pas
Si elle lit ces vers elle dira :
« Quelle est donc cette femme ? »
Elle ne comprendra pas