Pierre Matthieu, d’abord ligueur, se rallia à Henri IV :
La vie n’est que comédie
Où la mort seule est tragédie
La galère est la vie
Nous sommes les forçats
Dont la mort est le port
Où se couche la mort
Là se lève la vie
Là où le temps n’est plus
Là est l’éternité
L’homme est au monde
Ainsi qu’au cabaret
La joie abonde
Le temps dure peu
Et puis on paye
Et on s’en va