Théodore de Bèze fut un grand leader protestant au XVI° siècle :
De grâce chère Agrafe
Agrafe qui retient les deux beaux seins
De ma maîtresse
Ces globes prodigieux
De neige et de rose
Prisonniers d’une aveugle prison
Agrafe libère ces tétins innocents
C’est Vénus elle-même
Qui t’obligera de révéler
A mes yeux et à mes mains
Les seins de ma maîtresse Candide