Casimir Delavigne écrivit des vers en hommage à Lord Byron mort pour la libération de la Grèce :
La Grèce opprimée !
La Grèce belle encore mais froide inanimée !
La Grèce morte !
Arrête ! Ses yeux se rouvrent à la clarté des cieux !
Sous ses chaînes son corps frémit !
Elle vit ! Elle crie : Liberté !
Morte, Byron, tu l’admirais; vivante, qu’elle est belle !
Tu la vois enfin, mais en expirant
Vent étend tes ailes ton laurier se meurt
Fontaines sacrées versez vos flots purs
Sur ce front héroïque que la mort seule a courbé
Dieux rivaux séchez nos pleurs
« Dieu vainqueur de Satan dieu vainqueur de Python
Renouvelez pour Byron la vieillesse de Milton et d’Homère »
La mort entend; les dieux sont sourds
N.B. : La Grèce dirige pour six mois l’Union Européenne