Un paon faisait la roue
Tous les oiseaux admiraient son plumage
Sauf deux oisons nasillards
Qui au bord de leur marécage
Critiquaient ses jambes ses pieds son cri
Qui ferait fuir jusqu’à la chouette
Les oisons riaient
Une oie de leurs parents leur dit :
« Votre chant et vos pieds sont plus laids
Et vous n’aurez jamais sa queue »