N.B. : Les fables 101 et 102 sont publiées deux articles après l’épilogue qui suit la fable 109 :
Dans le calice d’une fleur
Une abeille se délectait
Une guêpe s’approche
En l’appelant sa soeur
L’abeille se rebelle :
« Vous ma soeur depuis quand ? »
« Considérez moi je vous prie
J’ai des ailes comme vous
Ma taille est juste plus marquée
Que la vôtre
Nos corsages se ressemblent fort
Et si vous en voulez davantage
Nos dards sont aussi ressemblants »
L’abeille excédée s’envole
« Votre dard sert votre insolence
Le mien repousse l’offense
Vous provoquez je me défends »