Le deuxième hommage à Joachim du Bellay a été publié le 17/12/2013 :
Le sommeil
Que l’on croit céleste
Coulait tout doux
Lorsque les plaisirs d’amour
Entrent par la porte
Ivoire marbre albâtre
J’avais embrassé ce cou
Ce sein
Amour avait dardé le trait
De ses flammes cruelles
L’âme errait sur les lèvres de rose
Quand l’envie de mon aise
A ouvert les portes du sommeil