Jacques Tahureau est lui-aussi du XVI° siècle :
D’amour je vis et d’amour je respire
Tels vers sont pour l’amour
Tels vers sont bien disants
Pour décrire de l’amour
Les feux doux-cuisants
Il te faut bien pleurer
Pitoyable élégie
Pour ceux qui sont meurtris
Par ta soeur la tragédie
Pour ceux qui meurent
D’une plus douce mort
N’ont pas senti l’effort
Violent de ta soeur tragique
Pleure donc élégie
Pleureuse élégie
Reprends ta face douloureuse
Ride ton front marri
Arrache de ton coeur
Mille soupirs cuisants
Témoins de ta douleur
O combien sincère !