Une première version de cet hommage a été publiée le 4/1/2014 :
La vie n’est que comédie
Où l’un fait César l’autre Arlequin
Mais la mort la finit en tragédie
Et ne distingue pas César d’un faquin
La vie est une galère sur la mer du monde
Le temps la conduit jusqu’au port de l’espoir
Si les vents de fortune et les orages de l’envie
Laissent l’homme forçat à son port de mort
Ses fatigues sont suivies de l’éternel repos
Sa servitude ne se mue pas en liberté
Où se couche la mort là se lève la vie
Où le temps disparait là est l’éternité