Jean-Antoine de Baïf a été cité le 19/01/2014 :
Nous nous plaignons de la nature
Qui si tôt donnés nous enlève ses présents
Quand la jeunesse des roses se montre
Leur vieillesse accourt à l’instant
En se succédant elles refleurissent
M’amie tu te flétriras comme elles
Vivons mignarde vivons nos ébats d’amour
Sans entendre le sot babil des vieux renfrognés
Nos amours viennent et vont se refont
Le soleil mort se relève
Mignonne ça donc viens t’en
Et tends moi ta bouche coralline
Au nom du doux vivre à deux
En attendant nos enfants