Hugues de Saint-Maardt, vicomte de Blosseville, est lui-aussi de la fin du XV° siècle :
C’est une grande peine que de vivre
Pourtant ne veut-on pas mourir
Ce qui n’est pas de tous maux délivre
C’est une grande peine que de vivre
La raison à la mort nous livre
Rien ne peut nous secourir
C’est une grande peine que de vivre
Pourtant ne veut-on pas mourir