Depuis quelque deux cents millénaires l’Humanité est divisée en trois blocs ethniques, trois continents :
Le premier est noir, originel. africain, avec des prolongements très anciens en Mélanésie et Australie. Le racisme à son égard signifie le refus de nos origines.
Le deuxième est blanc, en fait plus ou moins décoloré, brun, bistre, pâle…, occidental en un sens large, y compris les Sémites et les Indiens de l’Inde. Les Extrême-Occidentaux ont conquis les mers.
Le troisième est jaune, extrême-asiatique, y compris les Amérindiens qui, en approximativement cent mille ans, ont conquis les Amériques. En Asie sont nées sur cette base des civilisations minutieuses.
Le métissage entre ces groupes est aisé, va presque de soi. A notre époque le conflit fondamental oppose les Etats-Unis et la Chine. Il peut rester pacifique.
Rappelons que les races n’existent pas. Elles ne sont pas des essences. Au niveau des apparences elles sont singulièrement superficielles. La couleur de la peau n’est qu’un marqueur souvent nuisible, parfois utile comme le type « caucasien » pour la police américaine.
Nous avons désigné des millénaires d’histoire différentielle qui n’ont pas atteint l’unité de l’espèce humaine.
La plupart de faits que je viens d’évoquer sont hypothétiques, sérieusement hypothétiques.