Le fabuliste inconnu ( 49 )

Les hirondelles s’envolent
Pour revenir au printemps
Un pauvre laboureur
Les admirait de loin
Lui qui âgé et noué
Labourait encore
Sans avoir jamais quitté sa glèbe
A la jeunesse un travail fructueux
A la vieillesse un repos mérité
Tel était son voeu pieux