Le phénix mourait
Sur un bucher de flammes odorantes
Une tourbe insolente applaudissait
Quelle ne fut pas sa stupeur
Quand l’oiseau renaquit de ses cendres !
Aux humains la postérité
Permet parfois la résurrection
Le phénix mourait
Sur un bucher de flammes odorantes
Une tourbe insolente applaudissait
Quelle ne fut pas sa stupeur
Quand l’oiseau renaquit de ses cendres !
Aux humains la postérité
Permet parfois la résurrection