Pour l’amour d’une belle
Deux coqs se battirent à mort
Le plus faible ne dut son salut qu’à la fuite
Caché évincé de partout
Il assistait de loin
Au triomphe de son rival
Celui-ci se pavanait
Et claironnait sa victoire
Mais un nouveau rival aiguisait son bec
Battait des ailes l’air et ses flancs
Même si le vainqueur fut le sortant
Il dut se préparer à un combat nouveau
Il avait certes les belles poules à ses pieds