Les fables de Fabre 108

Un apollon régnait sur la plage
Nul ne l’égalait à la nage
En plus il se vantait
Il racontait avoir vaincu
Un requin à mains nues
Quand le monstre des mers apparut
Il fut le premier à fuir
Des personnes plus honnêtes
Se vantent impunément
Seule l’irruption du danger
Montre leur nature