Un âne était jaloux d’un bichon
Qui avait les faveurs
Du maître et de la maîtresse
Qui profitait de mainte caresse
Le lourdaud se présenta
Porta son sabot à l’épaule du patron
L’embrassa sur la bouche
Poussa son braiement
Le moins farouche
Le maître lui prodigua
Des caresses de baton