Les fables de Fabre 145

Un âne était jaloux d’un bichon
Qui avait les faveurs
Du maître et de la maîtresse
Qui profitait de mainte caresse
Le lourdaud se présenta
Porta son sabot à l’épaule du patron
L’embrassa sur la bouche
Poussa son braiement
Le moins farouche
Le maître lui prodigua
Des caresses de baton