Les fables de Fabre 140

Un âne par la plus grande des chances
Se revêtit de la peau d’un lion
Il sema la terreur dans le canton
Il en était tout content
Mais ses oreilles dépassèrent de la peau
Il fut vite déshabillé
Et renvoyé au moulin
Maint cavalier n’est qu’un âne à cheval