Les fables de Fabre 159

Un âne pressé par la nécessité
Se réfugia dans l’écurie
Bien accueilli par les chevaux
Le maître passa sans rien voir
Un palefrenier habitué des lieux
Dénicha tout de suite le baudet
Il le garda il le soigna
Avant de le libérer
L’oeil du maître est parfois inférieur
A celui du serviteur