les fables de Fabre 175

Deux taureaux se battaient en duel
Suscité par les flancs d’une belle génisse
Les grenouilles se plaignaient gémissaient
Elles savaient que quelque soit le perdant
Il se réfugierait dans leurs marais
Les écraserait par centaines
Ce fut bien ce qui se passa
Les petits pâtissent souvent
Des bêtises des grands