A partir de son départ, la rupture de l’unité, le monde se développe à coup de contradictions, de réalités conflictuelles. Il n’y a pas d’essences, de noumènes, mais des phénomènes, des existences.
Même si ce tableau est faux en soi, il est vrai pour désigner notre réalité.
Notre réalité existentielle comporte le problème-clef de la liberté humaine. Il ne s’agit pas de nier quelque déterminisme que ce soit, mais de ne pas tomber dans le fatalisme. Parmi les conditions déterminantes de l’être humain existent aussi la volonté, la conscience aux origines diverses.
Tout se passe comme si l’être humain était libre, au moins dans une certaine mesure à un point tel qu’on peut centrer une analyse globale sur la seule liberté. nous sommes proches alors de l’existentialisme.