La guerre des femmes

La religion n’est souvent qu’un prétexte, un subterfuge qui dissimule des intérêts bien réels.
L’islamisme radical cache une volonté meurtrière, l’asservissement de la femme. Celle-ci n’a droit à rien sinon à procréer souvent après avoir été violée.
Même dans l’ouest des Etats-Unis, pour des raisons chrétiennes cette fois, des tendances dangereuses se manifestent.
La lutte des classes continue de plus belle. Mais elle est généralement pacifique. Nul n’a trouvé le moyen de faire disparaitre le capital financier dans de bonnes conditions, à moins d’imiter la Corée du Nord, son communisme patriarcal.
Ce que nous appelions dans les années soixante-dix du XX° siècle les fronts secondaires sont devenus les fronts principaux : l’écologie, mot neuf à l’époque dans son sens politique, et le statut de la femme. Le M.L.F. a été créé en France en 1970.
Quand on leur en donne les moyens, en particulier l’éducation, les femmes montrent de grandes qualités. Elles sont même supérieures dans leur ensemble dans les études.
Il ne s’agit pas de décider de quoique ce soit sur le fond. L’important, c’est l’égalité des chances.
La chance des hommes de sexe masculin est que les femmes donnent naissance à des garçons et qu’elles aiment bien les hommes.
La condition féminine a trop évolué dans les pays les plus développés pour qu’un retour en arrière soit possible.
Certaines traditions détestables ont la vie dure. Nombreuses sont les Algériennes qui pensent qu’un mari a le droit de battre sa femme.
Le combat continue. Il est dur au quotidien, il parait interminable…
La cause des femmes est celle de l’humanité.