F.A.N.42

J’étais enivré par le parfum de ses cheveux
J’étais détruit par ses magiques et traitres yeux
Le vent a écarté ses voiles
Je l’ai vue nue
Je ne veux pas abolir la loi
Qui rend ce monde périssable
Le vent et moi sommes des gueux
Nous sommes enivrés tous deux
Par ton parfum et par tes yeux