F.A.N.46

Je n’aime guère le sacré
Même si je le respecte
Je suis fou du divin
Qui surgit au delà du paysage
Le chemin de la Femme
Est celui du divin
Hier il était d’un bleu inouï
Que je n’avais jamais vu
Sauf dans un vieux vase persan
La violette m’a fâché
Elle se cache au bout du pré
La tulipe ressemble
A l’une de ces coupes transparentes
Dans lesquelles je bois le vin
Le vin aussi est divin