F.A.N.106

Dans l’ombre propice nous guérirons
Tant bien que mal de la douleur de la séparation
Le coeur malade agonise
Qui lui a donné un mortel coup d’épée ?
Faisons la paix pour que le coeur guérisse
Pour son mal nous n’avons pas de médecin
Sèche est la racine de joie
Par où va-t-on au bistro ?
Nous n’avons pas le temps de rire
Nous sortons au soleil trouvons les bonnes herbes
Nous les appliquons sur la plaie ouverte
Nous ne savons rien nous savons au moins cela
L’ombre de l’oiseau protecteur est inutile
Le coeur à nouveau sera joyeux