F.A.N.112

Le seuil du bistro est balayé arrosé
Les rayons jetés par les coupes
Eclipsent le clair de lune
Les buveurs ressemblent à des enfants de choeur
Ils ne répandent pas d’eau de rose
Sur leur visage de jeune mariée
Je prends en main la coupe de joie
Nos fées jonglent avec notre destinée
Qui m’a traité de pauvre ivrogne mal dessoûlé ?