L’humain n’a de convenance morale que de l’éducation
Livré à lui-même l’humain est un animal
L’humain ne reçoit que que ce qu’il perçoit
L’humain ne désire que ce qu’il perçoit
Conclusion : A lui seul l’esprit philosophique décrit un cercle monotone
Il faut percevoir davantage pour savoir davantage
L’être humain borné par ses limites se hait lui-même
Il méprise ce qu’il possède
Il désire ce qu’il ne peut posséder, se réduisant ainsi au désespoir
S’il voyait l’infini, il se verrait lui-même
Conclusion : Celui qui se réduit à la rationalisation des choses ne voit que lui-même
Anges, esprits et démons sont humains
Les humains sont des semblables
Ils cherchent la vérité en proférant des mensonges
Leur vérité s’adapte à leur faiblesse
Conclusion : L’humain est un animal religieux