L’aube monte bien habillée
La tombe s’est ouverte
Les muscles desséchés bougent
Le défunt bondit
Il regarde derrière lui
Il se croit dans un rêve
Son âme enchaînée regarde dehors
Elle chante : « La lune blanche a disparu pour toujours
Vive le soleil noir de mes désirs secrets »
La voix s’éteint en un tonnerre
Inutile et spécieux
Qui aime la sauvage rébellion ?