Un alambic de merveilles errantes
La lumière est magicienne
La vapeur d’or rouge s’est engloutie
Avant que ne glisse la force immense
J’aime un chant funèbre
Il évoque une vie d’homme
Une pauvre vie d’homme
Le lisse étang d’or
Se marie au soleil
Et au ciel de narcisses ivre
Ce poème est issu de trois poésies du début de mon blog
( 2013 )