L’Être est un vase un gouffre
Il est une femelle obscure au printemps
Un verre d’eau et de bonté
Un vase est plein de vide
Le vide rend la maison habitable
Je suis un sans-logis à côté des massacreurs
Le sage ne dit pas « nous »
Il persiste à têter sa mère
Il préfère le cuit au cru
La vallée est un ravin