Le dernier A.B.I. a eu lieu le 20/9/2016/. Le nouvel A.B.I. aborde une étape cruciale de ma petite vie, mon premier livre, « Pour l’Histoire », publié en 1971. le seul de mes quatre ouvrages personnels à avoir connu un demi-succès, hélas sans suite.
Son introduction pose le même problème que le premier de mes trois articles de 1969, il est obscur et labyrinthique. J’essayais de poser des problèmes de méthode !
Je posais même la question bizarre de la fin de l’Histoire ! je critiquais le mode de production capitaliste d’Etat que je mythifiais volontairement de façon répulsive, comme fin possible de l’Histoire, et son idéologie possible symbolisée alors par le structuralisme !
Je me déclarais favorable au thème de la totalité rationnelle au profit d’un matérialisme critique, anti-dogmatique, dialectique, scientifique.
j’affirmais que la mort de la philosophie entraine une philosophie de la mort. C’est beau d’être jeune !
Je mettais en valeur le caractère irréductible de la connaissance du troisième genre que je tirais de Spinoza, faite d’une intuition supérieure comme dans l’art et l’amour.
Je mettais en avant l’ontologie. Je présumais que la philosophie ne réussit pas à réfléchir sur le temps et que l’histoire fait semblant d’y réfléchir.
L’étrange est, quand on y réfléchit, que je reste d’accord avec ces propositions qu’on est tenté de trouver fantaisistes !
Je n’en ai pas fini avec l’introduction.