L’ami Ziss

Ziss était allemand, amoureux de la culture française et un excellent ami. Un soir à la maison je dis que j’allais lire l’un de mes poèmes d’amour pour la très chère et que je me livrais ainsi pour la première fois. Je commençai ma lecture. Ziss affirma que ce n’était pas du français. La très chère de façon stupéfiante dit : « Il a raison ». Elle a peur de ne pas avoir d’amis et se prête parfois à quelque bassesse. Elle avait gardé mon poème pendant des années dans son portefeuille.