Témoignages imaginaires sur le maître :
Confucius la soixantaine dépassée se trouvait trop gros. « Heureusement » se disait-il, » les femmes ne m’ont jamais trop aimé »
Il prétendait que la vertu fait fi d’être connue ou pas. En fait il faisait des pieds et des mains pour l’être.
Il était selon lui normalement avide d’honneurs et de faveurs : « Cela me permet d’être utile pour la vertu. »
Sa phrase essentielle : « Seuls les rites sont vrais ». « Les êtres humains sont menteurs. Ils ne sont rien sans les rites ». « A condition qu’ils soient bien conduits »
Il dit un jour : « J’adore que Hui-Hui me trouve « régulier ».
Le maître disait : « C’est parce que je suis ennuyeux que je réussis »
Depuis ses quarante ans le maître récusait le doute. Mais c’est dans un moment de doute qu’il avoua : « Je n’ai jamais vraiment compris le Tao, ni dans son immensité, ni dans sa diversité; J’ai parfois l’impression de l’avoir corseté en le soumettant aux rites »
Rappelons que ces témoignages sont imaginaires.