Richesses et honneurs mal acquis ne sont pas plus que nuage qui passe
Confucius voulait se consacrer à l’étude du Yi king, l’antique Livre des mutations, pour éviter des fautes graves
Confucius utilisait la prononciation officielle
Il prétendait ne pas ressentir l’approche de la vieillesse
Il disait : « Ce n’est pas en moi que je trouve le savoir, mais chez les Anciens »
Le maître n’était partisan ni de l’horreur, ni de l’épouvante, ni de l’étrange, ni du fantastique, ni du merveilleux. Il ne l’était pas non plus du brut et du brutal.
Chacun trouve en l’autre un maître pour imiter ce qu’il a de bon, pour corriger en lui ce que l’autre a de mauvais
Le maitre dit une fois : « Ne m’embêtez pas. Le Ciel me donne la force de la vertu »
Une autre fois : « Je ne cache rien à personne »
Confucius enseignait quatre choses : l’amour des textes anciens, la pratique de la vertu, la loyauté envers les supérieurs, la fidélité à la parole donnée.