Un disciple venait d’apprendre un précepte. Le maitre, sachant qu’il avait de l’ardeur pour deux, lui dit : » Tu as ton père et ton frère ainé, consulte-les au préalable »
Un autre se trouva dans la même situation. Le maitre, sachant qu’il était timoré, lui conseilla de mettre le précepte en pratique immédiatement.
Le maître croisa Hui Hui qu’il croyait mort. Hui Hui répondit : « Vous vivant, je n’ose pas mourir ».
Le maître déclara un jour : « Les bons ministres sont ceux qui ne tuent ni leur père, ni leur prince, en conformité avec la Voie »
Le maître n’aime pas l’impertinence de l’olibrius qui lui renvoie ses propres commandements avant de s’occuper des autels de la terre et du millet.
Certains , dépourvus de tout, se prennent à rêver, l’un de chars de guerre, l’autre de territoires, un troisième de fêtes et de musiques. Le premier manque d’humanité.
P.S. : J’essaie de faciliter la tâche du lecteur. Mais la véritable traduction est celle d’Anne Cheng, déjà recommandée.