Une charmante copine Véronique
Me supplia de regarder avec elle
La finale de la coupe du monde de football
Elle s’installa près de moi
Toute fraiche toute mignonne
Du haut de ses quinze ans
j’avais la ferme intention
De regarder le match
Mais de façon malencontreuse
Ma main droite effleura son sein gauche
Nu sous la légère étoffe
De plus elle se tourna vers moi
M’embrassa sur la bouche
Je voue une adoration spéciale
Au baiser sur les lèvres
Au petit baiser tout doux
Echange des souffles
Messager des âmes
Je dois vous avouer que
Pris dans nos nouveaux rôles
Nous ne regardâmes plus le football